Atmosphère
d’été, la chaleur grimpe, on se réfugie dans les patios sentir battre le cœur
de la maison, siroter un thé à la tombée
de la nuit dans la cuisine, on monte sur les terrasses s’allonger, à contempler le ciel avec
des bouquets de jasmins en écoutant les échos des fêtes et des mariages.
Tout le
monde vit dehors, la vie culturelle bouillonne,
nos artistes s’exposent et se succèdent dans des lieux magiques et chargé d’histoire à l’ancienne chapelle de L’IHEC,
au musée de Carthage, au palais Abdellya …On se pose chez Leila Souissi l’une
des maitresses de la scène artistique tunisienne, dénicheuse des meilleurs
talents et toujours à la rencontre de nouvelles cultures.
Sur les
hauteurs de Gammarth, chez Carlos Varona grand voyageur et grand amoureux de l’orient,
on pénètre dans un univers à la Pierre Loti. Une invitation au voyage parmi des
meubles damascènes, des tapis perses, de lourdes tentures et au son de musiques
raffinées.
Encore
dehors, on déambule à la recherche de trois maisons de poupées mais qui ont
tout d’une grande …
Avant l’aube,
on part à la rencontre de ces femmes de Zaghouan, paniers sous le bras,
cueillir les fleurs d’églantiers dont on extraira l’eau de nesri pour en
imprégner les kaaks ouarqa, ces gâteaux en forme d’anneaux. La ballade continue
à dar Sebastion dans un décor d’enchantement devant la sobriété et la pureté
d’une architecture toute écrite en blancheur entre ciel et mer .Syrine Ataya
nous emportera dans son sillage vers l’atelier de Grombalia rempli de fagots de
bois flotté, de racines et branchages qui seront métamorphosés en objets poétiques.
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